Tu étais si belle,
Que mon cœur s’est pendu,
A une étincelle,
Au coin d’une rue.
Tu étais si douce,
Que ma peau s’est rendue,
Au sucré de ta bouche,
Et à ses caresses entendues.
Tu étais si braise,
Que mon âme a brûlé,
Dans ta fournaise,
Au creux de ton déhanché.
Mais tu étais si haut perchée,
Que je ne pouvais t’atteindre,
Et j’ai dû attendre le bûcher,
Pour enfin te rejoindre.
Poème N°2/6 offert du recueil "Contre TOI" (41 poèmes),
à la section "Passion"
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Jolies paroles et belles pensées.
RépondreSupprimerJe souhaite qu'en retour de ce moment de plaisirs vous ayez la plénitude dans votre vie.
Merci pour ce partage
Oui merci Loupzen, cette fois ma muse ne me quitte plus ! Merci de votre passage, n'hésitez pas à devenir membre de ce blog ou vous abonner...
SupprimerToujours de superbes textes , merci Stéphane
RépondreSupprimerMerci petit papillon de ton commentaire et de ta lecture ;-))
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