vendredi 26 mai 2017

L'éternité à t'aimer



Les bercements lointains
Les murmures de tes lèvres
Ne sont plus qu’un automne
Un printemps sans la sève.

Je te tiens la main
Pâle comme un froid matin
Je te regarde sans fin
Mon étoile, ma lumière, mon refrain.

La passion d’autrefois
N’est plus qu’une ride
Une gondole à Venise
Un été sous les draps.

Si nos corps ont vieilli
Nos sourires ont rajeuni
Et même si la nuit
S’accroche à tes paupières
Et même si la vie
Souffle une dernière prière
Mon cœur me susurre
Que même l’éternité
Ne pourra nous séparer…





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