Aussi loin que je me souvienne
le long des quais de la Seine
ta main écrivait dans la mienne
des fables finissant par je t’aime.
Sous un cerisier ou sous un chêne,
entre Paris et la Bohême
de Rome à Jérusalem
on sifflotait l’amour en chaîne.
Il n’y avait plus de matins blêmes
plus de problèmes que l’on essaime
juste des cœurs que l’on sème
sur la route des cyclamens.
C’était si grand que cette scène
se répétait comme un poème
et aujourd’hui, en ce Carême
par cette alliance, je te fais reine.
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alors la c est tellement beau , j aimerai que l on me fasse des poemes comme ceux la , merci Stephane
RépondreSupprimerMerci de votre lecture Gisèle, belle soirée à vous.
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