Où meurent dans un grand lac glacé,
Les souvenirs de notre vie passée,
Les lèvres, les baisers, les amitiés.
C’est l’heure des secondes infécondes,
Celles qui laissent de profondes rancœurs,
Celles qui se perdent en douleurs,
Quand sonne la fin de la ronde...
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Les feuilles d'automne recouvrent le sol d'un beau tapis , mais le banc est vide , c'est l'automne de la vie ...
RépondreSupprimerLa peau se ride , le corps se glace , mais la pensée est encore en éveil .
Ce corps qui se refroidit , se remémore tous les beaux moments de sa vie . Les instants durant lesquels il était chaud-bouillant d'amour , les instants qu'il aurait pu vivre plus intensément , les instants où il a agi parfois sans réflexion ...
Mais il n'a plus le temps de revivre tous ces instants .
La page va se tourner , il ne reviendra pas s’asseoir sur le vieux banc .
Est il besoin de te dire que ces secondes infécondes , j'ai pris un énorme plaisir à les lire , Stéphane ?
Oui il reste d'autres strophes à découvrir mais à la fin une lumière mystérieuse, peut-être un recommencement ? Merci Annette MERCI j'ai la chance de te connaître et j'en suis vraiment heureux...
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