samedi 6 septembre 2014

Apaisement


Je ne sais pas pourquoi,
De temps en temps,
Pas très souvent,
Souffle le vent,
De l’apaisement.

Parfois il est là,
Il se montre à moi,
Dans son bel habit blanc,
L’apaisement.

Après tant de néant,
Après tant de martyrs,
Après d’infernaux soupirs,
Voici le moment,
De l’apaisement.

Je vais et je viens,
Sur les nuages blancs,
Il n’y a rien de malsain,
A valser sans tourments.
Les nuages, le vent,
De l’apaisement.

Et si un jour tu me rejoins,
Dans ce pays cristallin,
Viens sur une colombe,
Sans bagages ni tombes,
N’emporte comme tourment,
Que l’apaisement…

Si vous aimez vous pouvez cliquer j’aime sur ma page Facebook :

Retrouvez tous mes poèmes :

2014@Gebel de Gebhardt Stéphane.
Copyright all rights reserved.

6 commentaires:

  1. Merci pour ce poème qui me touche partculièrement...
    En ce qui me concerne, je n'aurais pas su l'exprimer de si belle manière.

    Quel apaisement ton poème!

    Pensées amicales, mon cher Stéphane.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci mayas, si je peux contribuer à quelques minutes d'apaisement alors j'aurais rempli ma petite mission sur cette terre. Bonne soirée ma chère Mayas.

      Supprimer
  2. un apaisement bien mérité pour toi ! J'en suis fort heureux !

    RépondreSupprimer
  3. Un voyage au pays cristallin, sur une colombe!!!!!!
    Ah, Stéphane!!!!!!!!!!!!!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Hum ça te dit ? Alors ferme les yeux et laisse toi emporter par l'apaisement....

      Supprimer