Je ne sais pas pourquoi,
De temps en temps,
Pas très souvent,
Souffle le vent,
De l’apaisement.
Parfois il est là,
Il se montre à moi,
Dans son bel habit blanc,
L’apaisement.
Après tant de néant,
Après tant de martyrs,
Après d’infernaux soupirs,
Voici le moment,
De l’apaisement.
Je vais et je viens,
Sur les nuages blancs,
Il n’y a rien de malsain,
A valser sans tourments.
Les nuages, le vent,
De l’apaisement.
Et si un jour tu me rejoins,
Dans ce pays cristallin,
Viens sur une colombe,
Sans bagages ni tombes,
N’emporte comme tourment,
Que l’apaisement…
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Merci pour ce poème qui me touche partculièrement...
RépondreSupprimerEn ce qui me concerne, je n'aurais pas su l'exprimer de si belle manière.
Quel apaisement ton poème!
Pensées amicales, mon cher Stéphane.
Merci mayas, si je peux contribuer à quelques minutes d'apaisement alors j'aurais rempli ma petite mission sur cette terre. Bonne soirée ma chère Mayas.
Supprimerun apaisement bien mérité pour toi ! J'en suis fort heureux !
RépondreSupprimerMerci mon ami, pourvu que ça dure ! Amitiés !
SupprimerUn voyage au pays cristallin, sur une colombe!!!!!!
RépondreSupprimerAh, Stéphane!!!!!!!!!!!!!
Hum ça te dit ? Alors ferme les yeux et laisse toi emporter par l'apaisement....
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