J’ai perdu ta lumière
un été ou un hiver
depuis je vis en enfer
le paradis à quitter ma Terre.
Où sont tes lèvres rouges
et tes doigts agiles
où sont ces moments fragiles
dans la nuit tactile.
Tu étais l’étoile rose
d’une vie moins morose
tu étais l’apothéose
d’un homme en surdose.
Le vide me revient
tel un rappel, un chemin,
me voilà de nouveau orphelin
d’amour et de satin.
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