De mon cœur sur le sentier
à ton âme à mes côtés
affamés de l’amour
assoiffés au cœur lourd
nous avons bu l’aube un matin
étanché notre soif à nos reins
si bien que dans les affres de l’azur
dans les tourbillons et les champs de blés
nous nous sommes élevés
bien plus haut que le destin
bien plus loin que les étoiles
et dans les profondeurs de nos souffles
dans la moiteur de nos cris
cœur à corps en alchimie
l’un à l’autre à la seconde
j’ai suspendu l’infini…
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