Une fenêtre se dessine
sur la grisaille de mon âme
des volets comme des paupières
s’ouvre à ta lumière.
L’iris encore sensible
au parfum de ton éclat
l’aube soudain électrise
la tristesse de mon état.
D’un rayon délicat
déposé par une onde
tu viens à moi
en peau féconde.
Je te pose sur le toit
de mon humble finitude
qui se couvre de toi
et de ta sollicitude.
Au cœur de l’aurore,
dans un cocon de soie
né la blancheur d’une robe
et d’une bague, à ton doigt.
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