Sous un grand chêne,
Bordé d’un rose ciel,
J’ai noué une chaîne,
Au cou de ma belle.
Sa peau était douce,
Sucrée comme l’eau,
Madame était rousse,
Avait le sang chaud.
Elle était toute nue,
Debout contre le tronc,
Sa bouche retenue,
Par un rouge bâillon.
Tempo de la passion,
Ma langue, indécente,
A fouillé sa toison,
Frissonnante d’aisance.
Sa peau tremblait,
Écorce fragile,
Et ses seins palpitaient,
Comme des ailes graciles.
Les vagues de son corps,
Ondes langoureuses,
Chuchotaient sans effort,
Qu’elle était heureuse.
Sans fin dans la nuit,
À l’orée de la ville,
L’effluve de ses cris,
Sous mes coups, habiles…
Poème du recueil Symbioses (113 poèmes),
de la section "érotisme".
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Osmose émotionnelle de deux corps chauds d'amour
RépondreSupprimer@micalement
Fusion charnelle ;-)
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