Mon amour,
Je ne veux voir couler,
Aucune perle salée,
Ni l’amertume nacrée,
De nos heures d'été.
Mon coeur,
Je ne veux voir rouler,
L’onde d’une tristesse,
La pluie d’une faiblesse,
Et mon âme,
Enrobée de votre tendresse,
Ne veux voir se lever,
Sur votre peau, claire,
Une lune d’hiver,
Froide et austère,
Pareille aux cimetières,
Où sont enterrées,
Sous les tombes glacées,
Les larmes écoulées…
Poème du recueil "Vers TOI" (99 poèmes),
de la section "Affection"
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Merci!!!
RépondreSupprimerMerci à toi, Rita.
Supprimersurtout ne pas être triste de ce passé heureux mais hélas révolu, une éxigence forte à l'être aimé: tres joli poème, merci!
RépondreSupprimerMerci Gille de ton honorable passage, mes amitiés poétiques.
SupprimerSuperbe écrit , fluide , beau comme une larme , prière délicate à vos mots partagés . Merci
RépondreSupprimerMerci de votre lecture, mes amitiés poétiques.
Supprimer♥♥♥
RépondreSupprimerMerci Bop.
SupprimerSublime
RépondreSupprimerMerci Maud de ce court et sympathique commentaire.
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